Je gère mes ressources
En rapport avec le stress du chasseur,
dans notre quotidien professionnel, nous avons peu de situations de survie. Mais quand le stress devient chronique,
la plupart du temps, il y a confusion entre survie biologique et survie psychologique (sentiments de rejet,
regard des autres, sentiment d'incompétence...). Les réserves d'énergie s'épuisent, le système immunitaire est moins réactif
et d'autres troubles secondaires se manifestent : fatigue, baisse de moral... Si le phénomène persiste, nous pouvons
aller vers le burn out ou la dépression.
Le stress est un phénomène naturel. Il correspond à nos instincts primaires en cas de situation de danger. Le déclencheur en est la peur ou la nécessité. Sans lui, impossible de se surpasser, d'être vigilant, même d'avoir envie de se lever.
C'est donc une réaction physiologique chez l'humain. C'est la réponse de l'organisme à une demande d'adaptation venant du milieu extérieur : syndrome général d'adaptation.
Notre chasseur va donc avoir le cœur qui s'accélère en même temps que la respiration, les muscles bandés, une vue "tunnel" et l'esprit en éveil pour se concentrer sur sa proie, cela durant tout le temps de la chasse.
La chasse terminée, c'est le temps de la récompense : manger la proie avec la tribu ainsi que le repos du guerrier !
Mais passé un certain point, différent d'une personne à l'autre, il réduit la performance. En effet, le stress survient quand il y a déséquilibre perçu entre les contraintes imposées par l'environnement et ses ressources propres pour y faire face. Par exemple : je n'ai pas assez de temps pour faire face à ma charge de travail.
La résistance au stress est différente selon chacun, et subjective. Epictète disait : "Ce ne sont pas les évènements qui perturbent les hommes, c'est l'idée qu'ils s'en font"
Le stress ponctuel est tout à fait normal et efficace pour optimiser nos capacités.
L'environnement est un facteur de stress à prendre en compte et notre propre capacité à y faire face peut varier.
Pour prendre du recul face à notre environnement, progresser dans la prise en charge de celui-ci, et de nos réponses personnelles face au stress, des moyens efficaces existent.
Il y a 3 niveaux du stress qui apparaitront via des déclencheurs : le niveau cognitif, le niveau corporel et le niveau comportemental. Conclusion : pour gérer son stress, il faut agir sur les 3 niveaux à la fois.
En donnant tous les signaux au corps et à l'esprit, que tout va bien dans l'instant et qu'il est en sécurité, l'action interviendra sur ces 3 niveaux.
Des outils efficaces, novateurs et faciles à intégrer dans son équilibre de vie : la visualisation , L'E.F.T. , la cohérence cardiaque , la pleine conscience .
Il se construit à la demande en fonction des besoins de l'entreprise, des salariés et de son organisation. Lors de cette mise en place, nous veillerons à ce que la durée de la formation permette au contenu d'être intégré et de prendre du sens pour les formés.
C'est une formation-atelier car elle est basée sur l'expérimentation et le vécu des différentes techniques.
Formule 1
La formation–atelier se déroulera sur 3 jours en 2 fois.
Les deux premiers jours : découverte des différents outils avec un apport théorique afférent aux outils et au fonctionnement humain.
Le troisième jour : retour sur les expériences, réponses aux questionnements et aux éventuelles difficultés ainsi qu'un approfondissement des outils en fonction du vécu de chacun de 1 à 3 mois après les 2 précédentes journées. Ainsi chacun aura eu l'opportunité de vivre cet apport dans son quotidien.
Formule 2
Possibilités de mettre en place des formations–atelier successives sur plusieurs semaines consécutives. La durées pourra varier de 1h à 4h pendant lesquelles chacun expérimentera une ou plusieurs techniques et recevra un apport théorique qui sera prolongé la session suivante avec la découverte d'un nouvel outil, cela avec le même groupe, pendant toute la durée du cycle qui comportera un certain nombre de sessions en fonction des techniques demandées.
